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Dados rev. ciênc. sociais ; 52(2): 425-469, 2009. ilus, tab
Article in Portuguese | LILACS | ID: lil-528831

ABSTRACT

This article examines the political determinants of privatization of the fixed telephony sector in four countries, based on a neo-institutionalist approach. These countries faced similar pressures by telephone companies in favor of privatization, suggesting an apparent convergence in the sector's reorganization. However, although all four adopted some degree of privatization, the process followed different paths and designs in each country. This variation can be explained by the different institutional contexts in which the reforms were carried out. Where there was concentration of power in the Executive, privatization was launched "earlier" and approved more quickly than in countries in which such concentration waslessintense. Meanwhile, the existence of multiple veto points and stakeholders with veto power did not impede the reform, but increased the cost of its unilateral adoption by the Executive, forcing the latter to negotiate and form a minimum consensus within the governing coalition.


Dans cet article, on examine les déterminants politiques de la privatisation dans le secteur de la téléphonie fixe dans quatre pays à partir d'une approche néo-institutionnelle. Ces pays ont subi des pressions assez semblables en faveur de la privatisation des entreprises de téléphonie qui convergeaient apparemment vers la réorganisation du secteur. Malgré leur adhésion à la privatisation, chaque pays a suivi des voies et des modèles divers. Cette variation peut s'expliquer à partir des différences de contexte institutionnel où les réformes ont eu lieu. La concentration du pouvoir exécutif a contribué à un début "précoce" de la privatisation approuvée dans un délai plus court que celui des pays où cette concentration était plus faible. La présence de plusieurs points de veto et de partenaires ayant pouvoir de veto, n'a pas empêché la réforme mais a accru le coût de son adoption unilatérale par le pouvoir exécutif, imposant la négociation et la formation d'un consensus mínimum au sein de l'alliance gouvernementale.

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